Pirate dans le bureau de Beckett[Pv:Lord Cutler Beckett]

John avait vu placardé de partout des affiches annonçant qu'il serait possible de négocier avec des pirates pour qu'ils deviennent Soldat de la Compagnie des Indes.Mouais,pourquoi pas ?Un peu plus tard,il les trahirai où deviendrait corsaire,mais bon,optons pour la méthode la plus simple:rester Soldat de la Compagnie des Indes jusqu'à la mort.Il arrivait dans le Manoir du Gouverneur,puis prit direction vers le bureau de Beckett,il avait l'habitude d'y aller,avant ses pendaisons et condamnations raté(e)s puisqu'il arrivait tout le temps à s'enfuir.Son équipage n'accepterait pas trop et il devra surement les mettre à la porte,en les laissant Pirates Solitaires.Il frappa à la porte de Lord Cutler Beckett et attendit qu'il le fasse entrer.Silver connaissait très bien ce Lord,ils s'étaient souvent rencontré,puisque le Capitaine du Tyran de la Mer était très recherché.


[Hj:
Edit:
J'avais oublié de mettre le texte en italique,désolé]

Le bruit du poing de Silver s'ecrasant sur le bois de la porte resonna dans toute l'immensité de la demeure.Un coup, rien ne bouga. Deux coups, Il entendit des pas rapides retentir sur le marbres et la poignée se tourner. Un homme de petite taille portant une perruque mal ajustée immerga sa tête par l'entrebaillement de la porte. En premier lieu, il ne vit pas John mais plutot une espece d'ancêtre empestant l'étoupe avec des mains tachées de noir. Sa chemise etait sale et sa maigreur se reflettait sur ses joues mals rasées. Cette apparence d'un homme vivant dans la démesure extirpa au domestique un hoquet de stupeur. Il avait pourtant été prevenu de la possibilité qu'un pirate puisse venir se presenter au pas de la porte, mais entre l'imagination et la réalité. Quoi qu'il en soit, son devoir passait avant tout. Il se redressa et bientot la mine incredule qu'il avait affiché juste auparavant ne fut plus qu'un mauvais souvenir...
Reprenant un ton de voix monocorde, il invita John Silver à le suivre.
Ils traversèrent des salles remplis de boiseries et de tableaux plus chers les uns que les autres. John toisait toutes ces richesses avec envie mais se retint d'en approcher une seule... La presence du Majordome le mettait mal à l'aise. Alors qu'ils finissaient de grimper des escaliers, ils croisèrent des gardes en uniforme. Silver rajusta avec ego sa redingote et leva le menton pour les impressonner. Il executa ensuite une marche militaire excessivement ridicule et manqua de peu de heurter une chaise. Ce fut avec un air exasperé que le domestique pria John de patienter dans un petit salon.
Il s'avanca vers un des siege de la salle et s'assit avec un maniérisme exageré.
Au bout de deux minutes il commenca à trouver le temps long. Faire patienter un pirate! Quel manque de tact... Il s'appretait à partir lorsque la seconde porte menant au bureau s'ouvrit d'un coup. Un soldat se tenait de l'autre coté et par un bref signe de la tête lui indiqua qu'il se devait d'entrer au plus vite.
La salle etait eblouissante par les rayons du soleil matinal qui entraient par l'immense fenêtre du bureau. Deux homme assit dans deux des trois fauteuils regardèrent John entrer. Le soldat referma la porte dans un claquement sourd qui le fit sursauter. Le Lord haussa un soucil:

-" Aaah tiens, ce cher John Silver vient nous rendre visite. C'est au sujet de l'annonce je suppose? Eh bien" Il lui indiqua le dernier fauteuil libre "prenez place."

Le pirate tourna la tête à gauche puis à droite... Mais rien n'indiquait que c'etait un piège. Il se pressa alors de se jetter dans le fauteuil moelleux. Essayant plusieurs positions pour se donner l'air important, il sursauta en voyant un autre homme dans le siege à sa droite. Il l'avait oublié lui.... Mais qui etait-ce?
Lord Beckett apercu son trouble et annonca posement:

-" Je vous présente Marc Donatien de Boisnoir, amiral dans la marine royale francaise."

[Hj:Je t'autorise à décrire les gestes de mon personnage,vu que je vois que tu n'as fait que ça.]

John prit un air souriant en disant "oui" avec la tète,afin de répondre à la phrase de Beckett:"Aaah tiens, ce cher John Silver vient nous rendre visite. C'est au sujet de l'annonce je suppose? Eh bienprenez place.".Il regarda par la suite l'homme qui se tenait à droite de celui du Lord,un certain Boisnoir,pour Silver,c'était une personne qui lui était familière,vu que dans un voyage en France,le Tyran de la Mer avait fait des carnages,avec beaucoup de difficulté,puisque le navire avait attaqué Nice d'où il était revenu avec une victoire écrasante,pour revenir à Bordeaux avec encore plus de difficulté,c'était justement dans cette ville où il avait connu sa plus grande victoire,puis attaqua et pilla le Havre,le Capitaine était aussi bien recherché que le Capitaine Chevalle,seigneur des pirates de la Mer Méditerranée.Il regarda l'Amiral,et dit durement,les doigts sur le menton:

-Heu,hum,hem,hé hé...Enchanté de vous connaitre,mon cher Amiral Français.

Puis il se tut pour laisser la parole à Beckett.

Boisnoir observa avec attention le nouveau venu. Il était vraisemblablement peu distingué contrairement à un autre John Silver qu'il avait connu quelques années auparavant. Cependant, le teint basané et marqué de ce pirate lui donnait un charisme impressionant malgré son ventre proéminent et sa barbe de cinq jours.

Lorsqu'il entendit son nom Boisnoir se rappela de lui comme étant l'homme qui avait attaqué Nice, Bordeaux et Le Havre quelques années auparavant. Lors de ces évènements, Boisnoir qui commandait une frégate se trouvait justement à Rochefort et avait reçu l'ordre de couper la retraite du Pirate lors de sa remontée de la Garonne puis de la Gironde. L'homme avait pourtant réussi à passer entree les mailles du filet qui lui était tendu et avait ensuite pillé brièvement Le Havre avant de devoir se retirer précipitament suite à l'arrivée de nombreuses troupes françaises. Boisnoir se leva.

-Enchanté capitaine, ainsi c'est donc vous l'homme qui a réussi à mettre à sac Nice avant de s'en prendre à Bordeaux et au Havre? De toute ma vie je n'ai jamais vu pareille audace chez un homme même chez les Anglais. Même si le succés de vos deux dernières expéditions fut moins impressionant que le premier je ne puis que vous en félicitez. Un tel homme ne peut être que bienvenue parmi nos rangs...