Ce matin là...[Libre à tous]

Il faisait encore nuit dans sa chambre lorsqu'Elizabeth ouvrit les yeux. Quelqu'un venait de frapper à la porte. La jeune femme s'étira longuement, et demanda qui se trouvait derrière la porte. C'était sa femme de chambre. Celle-ci rentra, puis fit ce qu'elle faisait, comme à son habitude, chaque matin. Soudainement, le jour s'installa dans la pièce lorsque les rideaux furent levés.
Habillée d'une longue robe blanche à corsé, elle sortit de sa chambre. Le manoir ne lui avait jamais parut aussi vide depuis la mort de son père, mais cela faisait maintenant plusieurs semaines, et elle s'était habitué à ce calme...
La jeune femme descendit lentement les escaliers qui menait au hall, se demandant qu'elle journée elle allait passer aujourd'hui. Elle regarda autour d'elle, lorsque soudain des bruits derrière la porte d'entrée venait de se faire entendre. Etrangement, aucun valet n'était là pour ouvrir la porte...Elle s'avança donc lentement et ouvrit la porte. Une personne, certainement étrangère à ses yeux, se trouvait sur la palier.

(ce rp se passe après la le topic après la forge)

John c'était enfuit plus tot ce matin de la forge, il n'avait rien gagné a la forge et bien au contraire il avait plus perdu qu'autre chose, il ne voulait pas partir sans rien dans les poches et le sel endroit ou trouver de l'argent c'était dans le manoir du gouverneur, il ne voulait pas entrer comme un voleur, il toca a la porte du manoir. Une femme lui ouvrit il ne laconnaissait pas et elle ne semblat pas le connatre non plus. l fallait inventer unhistoire crédible pour entrer dans cette residence. Il réflechit quelques secondes et finit par dire.

Bonjours je suis envoyé par la compagnie des indes pour inspecter votre maison on pense qu'un pirates s'y cache.

Elizabeth regarda la personne, qui n'était autre qu'un jeune homme, qui se tenait sur le palier. Celui-ci lui expliqua qu'il était envoyé par la Compagnie des Indes, car ceux-ci pensaient qu'un pirate s'y cachait. La jeune femme souria ironiquement, puis dit.

- Et bien ! J'aimerais surtout savoir depuis quand la Compagnie des Indes s'interrèse à ce qui se passe chez moi...
Un pirate...Je ne vois vraiment pas pourquoi un pirate viendrait ici ! Si ce n'est pour voler ce qui pourrait rapporter en dehors. Je ne doutes pas de l'intelligence des pirates, mais il faudrait être réellement fou pour venir s'introduire ici, sachant qu'il y a des soldats de la Marine Royal à chaque coin qui pourrait mener à la porte d'entrée. Mais, vous pourrez remercier la Compagnie des Indes de se soucier d'Elizabeth Swann, surtout depuis que ceux-ci ont causés la mort de mon père...

Elizabeth fixa l'homme droit dans les yeux. L'argument de celui-ci était nullement convaincant, et elle se doutait bien qu'il n'était pas venu pour cela.

John se doutait que son argumnt n'était pas uper valabe, il souria entra comme ci il était invité.

Merci de m'acceuillir si chaleureusement mademoiselle Swan. Mais ce pirates recherche sans aucun doute des objets de valeurs. Et vous ne povez pas savoir a quel points certains pirates sont...stupide!!!

Il parlait del ui même tout en disant cela il démabula ans la grande pièce touchant secouant certain objet de grande valeur. Il ne se genait pas du toutet se doutait que cela ne plairait pas la la fille du gouverneur. Il passa ensuite dans la grande salle a manger sans la permission de la demoiselle, il regarda et evaluait le prix de certain objets. Il sifflait l'air de "Hisson nos couleurs".

La jeune femme regarda, assez interloquée, l'homme entrer dans le hall. Et bien, il en fallait du cran pour pénétrer ici, sans autorisation...

- Je ne crois pas vous avoir inviter à entrer ici...

Elle le regarda toujours, guettant chacun de ses faits et gestes. Puis celui-ci se rendit vers la salle à manger, et là, il sifflota un air, qu'Elizabeth connaissait bien. La jeune femme comprit donc que cet homme, ne faisait pas partit de la Compagnie des Indes comme il avait pu l'affirmer quelques minutes auparavant, mais qu'il était simplement un Pirate.

- Attendez une minute...Je vous signale que je sais très bien reconnaitre un pirate, surtout lorsque j'en vois un sous mes yeux.
Sortez d'ici, ou vous finirez comme tout vos amis, c'est à dire, à la potance.

Elle fixa une nouvelle fois l'homme. Elle se doutait bien, qu'il n'allait pas bouger d'ici, enfin seulement s'il comptait passer ses derniers jours de liberté maintenant. Lizzie voyait par là, que les gardes faisaient souvent des rondes alors...

John se retourna et souria a la femme devat lui, il était découvert, il avait tenu 2 secondes de plus qu'il croyait. Il sortit un petit sac et commenca a prendre certain chandelier en argent, il commencait a voler, en plein jour, dans la maison du gouverneur cerner de garde et sous le regard de la fils du gouverneur il n'y avait que lui pour faire une chose aussi stupide. Pendant qu'il remplissait le sac.

Déloser de vous décevoir mademoiselle mais je n'ai plus un sou en poche et si je veut parir d'ici il faut bien avoir un peu dargent, de tute facon qui vas m'arreter vous ?

Il rigola doucement en continuant de remplire son sac, lorsqu'il vit un sabre magnifique, il le testa et sortit un des siens ilen jeta un et prit le sabre trouver (voler serait plus exact), puis il vit un pistolet ausi beau, il le mit a sa ceinture il continua a fouye sans se soucier de rien.

Elle le foudroya du regard, bien drôle ce pirate ! Il sous estimer Elizabeth, alors qu'il ne savait de quoi elle pouvait bien être capable...La jeune femme avait passé ces dernières années en compagnie du "célèbre" Jack Sparrow, et aucun pirate ne pouvait être à sa hauteur, c'était bien pathétique.
Il croyait tout de même pas qu'il s'en sortirait ainsi...Elizabeth s'approcha doucement vers l'un des vases où elle avait un jour, déposé un pistolet, toujours là en cas de défense. Une fois l'arme dans ses mains, elle s'approcha vers l'arrière du pirate et lui pointa l'arme dans la nuque.

- Saviez-vous qu'il était déconseillé de sous estimer une femme ? Lachez ces armes, où j'appuie sur la détente.

Elle montra de sa main libre le pistolet qu'il venait de mettre à sa ceinture ainsi que le sabre.
Elizabeth avait déjà menacer plusieurs pirates, peut-être avait-elle une allure de bourgeoise mais au fond, elle avait l'âme d'une parfaite pirate...

John était toujours de dos sentant le canon du pistolet sur sa nuque, il ne bougeait pas apparement elle voulait garder le sabre et tout le reste, pourquoi devait il tomber sur la femme qui savait se battre. Il soupira. Puis en un instant il sortit les deux pistolet sans bouger et les pointa sur Elizabeth e les crosant derriere son dos.

On est a egualiter, on se menace muttuellement mais je parie que si j'appelle les gardes c'est vous qu'ils sauveront.

Il soupira une deuxième fois sans toute fois se retourner, il savait qu'il lui visait le ventre avec ces deux pistolets.

Et maintenant que fat t'on mademoiselle Swann ? On se bat a l'épée ?

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