Du changement ...

Kennedy rentra dans le bureau que la compagnie avait réquisitionné pour de multiple raison. Il venait de ce sortir de quelque mois de captivité a bord d'un navire pirate. Il fut libérer lors d'un accrochage entre des navires Anglais et les dit pirate. Cela faisait quelque jours maintenant qu'il était rentré a Port Royal. Et il reprenais son poste aujourd'hui. En effet,l'ancien président ayant du retourné en Angleterre,le jeune capitaine Kennedy repris le poste.

Son secrétaire qui était devant lui attendait des ordres. Kennedy ne se fit pas longtemps priez.

Je veux que tout les navire de la flotte Anglaise passe sous les ordre direct de la compagnie des indes. Convoquer moi tout les officier présent je veux les voir dans mon bureau dans moins d'une heure. Et faite placarder des affiche de ce genre partout dans la ville.

Le jeune secrétaire déplia le rouleau et le lus.

Citation :: En tant que présidant de la compagnie des indes et mandaté par le roi d'Angleterre pour mettre un terme au agissement des pirates.

Moi Capitaine Kennedy Hornblower, de par les pouvoir qui mon été conférer par la couronne déclare la lois martial dans toute les colonie britannique de ce secteur.

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Ann-Elizabeth n'avait pas sentit le vent tourner, et cela la contariait. Bien sur , elle etait au courant des remous de la compagnie. Elle avait ses informateurs. Mais elle aurait tout de même préféré mieux anticiper ce changement d'une impotance capitale. De plus, un aute soucis se faisait sentir. Beckett patit, il n'etait pas certain que Hornblower lui offre le gite en attendant que se termine les reparations du manoir. S'il etait intelligent, il ne le feait pas. Après tout, elle n'etait pas un actionnaire quelconque de la compagnie.
Toute ces consideration mise a part, tout etait a recommancer, en partant des presentation.
La jeune femme descendit donc acceuillir son nouvel hote. Un sourire de circonstance sur le visage. A quel sauce allait elle etre manger ?
Lissant les plis de sa robe cyan, elle se fit annoncer dans le bureau. Esperant que le capitaine accepterai de la recevoir.

Boisnoir entra dans la pièce le visage aussi rouge que les parements de son uniforme rutilant. Il était comme d'habitude accompagné par la totallité de son Etat-Major et d'une escouade de soldats de la marine au grand complet. Il fusilla Hornblower du regard puis ôta son tricorne avant de passer rageusement sa main dans sa perruque poudrée. Puis il s'avança vers le bureau où le nouveau président de la compagnie trônait comme un monarque. Il tapota rapidement la garde de son épée avant de dire sur un ton hautain:

-Pouvez vous m'expliquer ce que cela signifie... capitaine?

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Sans comprendre ce qui arivait , Ann-Elizabeth vit debarquer une tornade rouge qui la bouscula sans menagement. Outrée, elle se permit de penetrer dans le bureau, les yeux fulminant de rage. C'est là qu'elle reconnu Boinoir et une tripotée d'autre français sans plus de savoir vivre. Outrée , fulminant de rage a l idée d etre considerée comme la derniere des domestiques, elle se releva de la causeuse ou on l'avait violement envoyé. Serrant les dents , elle peneta dans le bureau. Si les français n'avait aucun savoir vivre, il allait se prendre un savon à la mode anglaise. Hargreaves par dessus le marché !

Le capitaine Kennedy fut déconcerté par le monde qui venait d'entré dans sont bureau. Il les regarda tous un par un. Puis son regard e posa sur Amiral de Boisnoir.

Amiral faite sortir vos homme d'arme au plus vite ... il n'ont rien a faire ici.

Puis il regarda la jeune femme qui venait d'entré peu de temps après les Français.

Mademoiselle,je vous prierais de bien vouloir quitter cette pièce.

Kennedy se leva et allât se servir un verre de scotch.

-Si c'est vous qui le dites...

Il fit signe au soldats de la Marine de sortir mais en se retournant il aperçut Ann Elizabeth qui venait d'entrer. Entendant la remarque de Hornblower à son égard, il lui jeta un regard courroucé et déclara trés posément.

-Jeune homme, vos manières ne sont guère convenables surtout envers une personne de ce rang. Sa présence ne m'indispose en aucun cas pas plus que mon état-major...

Il se mordit la lèvre. Il avait du passer devant Ann-Elizabeth sans l'apercevoir voilà qui avait du énerver cette femme au caractère bien trempé avec laquelle il préférait conserver les rapports les plus courtois possibles.

Boisnoir s'avança ensuite avec deux officiers vers Kennedy dont l'un servitr un verre de scotch à son amiral. Boisnoir le saisit et le but laissant l'arôme emoustiller son palais. Puis il lâcha:

-Sacrebleu! Jeune homme vous appelez ça du scotch mais c'est à peine une bière pour marin d'eau douce! Donnez moi votre fournisseur que je ne lui commande jamais rien!!!

Les officiers éclatèrent de rire.

-Bien maintenant voulez vous bien me dire ce qui se passe?