En pleine guerria...

Nombre de messages : 7 Date d'inscription : 16/04/2007

Marc accosta au port de Port Royal avec la Flèche d'Argent et en mettant un pied sur le pont, prit avec lui deux hommes armés jusqu'aux dents, étant près à tout même à mourir pour lui.Un gros bonhomme arriva chancelant ayant du mal à se déplacer étant plein de bonnes nourritures installées dans son énorme pense.Il les regarda d'un regarda apeuré et resta silencieux, il leurs bloquait le passage, très mauvaise chose à surtout éviter en jour de boulot.Il leur dit en tremblant comme une souche.

10 pièces d'or pour la place du bâteau.

Marc sourit et le souleva d'une main.Il le regarda et lui dit alors.

Pour nous c'est gratuit...

Il le balança à la flotte et les hommes du navires gardèrent leurs armes en main près à tirer sur quiconque.Marc avança avec ses deux hommes et ils s'engouffrèrent dans les ruelles.Ils arrivèrent devant une maison et il la défonça d'un coup de pied.Sortant son pistolet, il tua un homme et ses gardes tuèrent trois autres hommes.Ils montèrent à l'étage et redescendirent quelques instants après.Marc balança un homme à terre dans la ruelle en sortant et lui dit.

Avance tête de veau, des commenditaires veulent te voir...

Port Royal.... Un doux nom pour ce qui semblait être devenu un cloaque aussi nauséabond et pathétique que les autres villes portuaires des Caraïbes. Tout ce dont les livres lui avait apprit semblait n'être que souvenir et illusions... Tant pis, elle s'en accomoderait sans rechigner. Son regard clair se posait sur les passants qui semblaient se demander d'où elle sortait avec sa démarche de jeune fille de bonne famille et ses vêtements... de ... Hm... de quelqu'un qui ne fait pas partie des bonnes familles de l'île... pour ne pas dire de pirates. La condition de Nathanaëlle n'était pas écrite sur son visage ni sur ses vêtements. Sur un bâteau, elle était capable de faire tâche tout comme elle était capable de faire partit des meilleurs. Bref... tout un concept.

Elle s'engouffra dans une ruelle aussi puante et pathétique que ce qu'elle avait vu jusqu'à maintenant. Quelques mètres plus loin, un homme s'applantit devant ses pieds et surtout, dans la boue de la ruelle. Un éclair amusé traversa le regard gris tandis qu'un autre homme sortait en disant quelque chose à la loque qui était devant elle. Celle ci leva la tête vers elle et lui jeta un regard suppliant. Nathanaëlle haussa un sourcil, jeta un regard à l'homme qui semblait être un mercenaire puis secoua la tête avec un léger sourire.

-Hum... Il semblerait que cet homme désire bien plus vous emener que moi je ne désire vous sauvez la mise... Et puis... Je ne pense pas que cela vaille réellement le coup, non?

Nombre de messages : 7 Date d'inscription : 16/04/2007

Exactement, cela ne vous serait d'aucun avantage alors continuez votre chemin...

Les hommes pointèrent leurs fusils en direction de la jeune femme.Marc les baissa calmement en la regardant, si elle voulait s'en mêler cela terminerait très mal et il n'avait pas de temps à perdre en ce moment...Il l'observa un moment de plus la jeune femme et ne dit rien de plus.Il prit l'homme couché dans la boue en le voyant hurler comme une fillette, il le souleva d'une main et le balança deux mètres plus loin à terre comme un vieux sac de pommes de terre.Il soupira en le voyant remper vers lui comme un ver de terre.Il lui donna un coup de pied non fort simplement pour qu'il arrête et dit.

Allez lèves-toi pauvre type avant que je ne te coupe la langue...

L'homme pleurait et le suppliait à genoux.Marc soupira d'avantage et le força à se lever, le poussa devant et l'homme courut jusqu'à la jeune femme en rebroussant chemin et en se jettant à ses jambes.Il lui dit mort de peur.

Je...je vous en supplie, ils vont me tuer une fois amenés chez les Ames Noires...
Pitié...

Marc en eut assez, il le prit par le col et le poussa derrière.

Laisse-là tranquille toi ou je te jure que je te tue ici, je m'en fiche ils te veulent mort ou vif...

Le sourire de la jeune fille devint légèrement ironique. Son regard clair se posa sur celui qui venait de lui adresser la parole avant d'observer attentivement ceux qui tenaient les fusils. Elle répondit.

-Et bien disons que mon chemin est encombré par quelque... petites choses...

Vaguement amusée, nullement choquée ou apitoyée, Nathanaëlle regarda l'homme se faire soulever et jeter comme une simple chaussette. Scène comique si l'on retirait les deux hommes de mains. Elle secoua légèrement la tête avant de jouer avec ses bracelets tandis que son interlocuteur d'un instant s'occupait de sa "commande". Quand celle ci se précipita à ses jambes, elle ne du sa sauvegarde de la boue que grâce à son sens de l'équilibre. Elle posa alors un regard glacé sur l'homme à ses pieds et répondit doucement.

-Moi... Vous sauver? Dites vous qu'entre mes mains, vous ne vous en sortirez pas plus vivant qu'une pierre... En bien plus moche cependant...